17/10/2010 dans Génie végétal, Traitement de l'eau, Ville post-carbone | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
L’Arene, en partenariat technique avec la ville de Fontainebleau, a engagé une mission exploratoire de "définition d’une stratégie de territoire post carbone" sur le territoire de Fontainebleau en 2009.
L’initiative de l’Agence en 2009 s’inscrit d’une part dans son objectif stratégique qui vise à impulser une démarche de progrès dans les approches territoriales et d’autre part dans sa capacité à se préparer et anticiper les transformations des infrastructures et des modes de vie (modes d’habiter, de se déplacer, de consommer, d’occuper ses loisirs, de communiquer...) que le changement climatique et la limite des ressources va susciter sur le territoire. Cette démarche expérimentale a un caractère prospectif et aura une utilité sur d’autres territoires franciliens.
via www.areneidf.org
17/10/2010 dans Ville post-carbone | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Natural Solutions est une entreprise innovante spécialisée dans les technologies de l’information qui crée des outils numériques modernes permettant une prise en charge responsable de notre avenir.Natural Solutions se joint à l’effort des naturalistes en mettant au cœur de son métier l’ensemble du processus scientifique, à savoir :
13/10/2010 dans Logiciels | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
RTE, le gestionnaire du réseau de transport d’électricité français, publie la consommation électrique du pays en temps réel ainsi qu'une estimation du mix énergétique et des émissions deCO2 liées.
Pour en savoir plus : www.rte-france.com
05/10/2010 dans Energie | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Une plateforme pour l'optimisation des phases pré-industrielles pour Aurora Algae, CA
L'entreprise Aurora Algae, en Californie, a inauguré le 3 septembre 2010 une plateforme pour la production, à partir d'algues photosynthétiques, de produits à destination des marchés pharmaceutiques, des suppléments nutritionnels, de l'aquaculture et des carburants. Le groupe souhaite marquer ainsi son ambition de passer de l'échelle pilote à l'échelle commerciale. Ceci est le résultat de 4 années de recherche au cours desquelles l'entreprise aurait développé des souches d'algues adaptées à une production commerciale à grande échelle.
Selon Graig Bafalis, PDG de la société, les objectifs majeurs de cette plateforme sont notamment axés sur :
Ce procédé utilise des algues modifiées génétiquement. En effet, les souches d'algues photosynthétiques développées sont moins riches en chlorophylle que le type sauvage, ce qui permettrait une pénétration plus profonde de l'énergie lumineuse, d'où un rallongement de la période de reproduction des algues et une augmentation du rendement. Le procédé utilisé pour la récolte des algues est issu d'une technologie communément employée dans l'industrie de traitement des eaux usées et qui serait peu coûteuse en énergie comparé à l'approche traditionnelle de centrifugation.
via algaeaqua.com
05/10/2010 dans Bioénergie, Ecosystème, Green Building | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
GreenHouse Gas Protocol (GHG Protocol) a été lancé en 2001 par le World Business Council for Sustainable Development (WBCSD) et le World Resources Institute (WRI). Il est développé en partenariat avec des entreprises, des ONG et des gouvernements, afin de créer un cadre commun de comptabilité et de reporting, et des outils de mesure et d’action pour lutter contre le changement climatique. Le GHG Protocol est actuellement la méthode la plus utilisée à l’échelle internationale.
Le GHG Protocol découpe le périmètre opérationnel des émissions de gaz à effet de serre d’une organisation de la façon suivante :
Les premiers retours d’expérience des tests des deux derniers standards (scope 3 et empreinte produit) viennent d’être publiés, et à l’issue de ce processus itératif, une nouvelle version de ces standards sera publiée au printemps 2011.
Parmi la soixante d’entreprises participant à ces tests, on trouve Airbus et Veolia Eau pour la France, Autodesk, BT, Deutsche Telekom, Lenovo, SAP et Siemens pour le secteur des TIC.
Les entreprises ayant testé le scope 3 en concluent que la norme est « opérationnelle », et qu’elle permet d’établir un reporting annuel. De la même façon, les entreprises ayant travaillé sur l’empreinte produit en concluent que la norme ne présente pas de difficulté et se révèle même très utile.
Au-delà du simple objectif de comptabilité et de reporting, les entreprises utilisatrices de ces deux standards constatent qu’ils permettent d’identifier de réelles opportunités de réduction des émissions, et de gérer les priorités en la matière. Et constitue également un moyen efficace de mobilisation du management pour identifier les risques et les opportunités de la supply chain en matière d’émissions. Enfin, on pourrait parier que l’utilisation de ces deux standards permettent aussi d’offrir un véritable avantage compétitif et un facteur de différenciation des produits pour les entreprises qui s’y conformeront.
via www.greenit.fr
03/10/2010 dans Normalisation | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Le projet Parex.it (PARement EXtérieur pour Isolation Thermique) vise à développer un enduit d’isolation thermique par l’extérieur. Cet enduit sera à base minérale et utilisera des supers isolants granulaires. Les façadiers en assureront la mise en oeuvre, monocouche, au moyen de machines mélangeuses et projeteuses du commerce. L'enduit issu des travaux de Parex.it sera utilisé :
13/09/2010 dans Eco-matériaux, Ecoconstruction, Isolation | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
La compagnie suédoise fondée par Mm. Göran Bolin et Ray
Olsson, déjà récompensée par plusieurs prix dont le prix "Technology
Pioneer 2007" au Forum économique de Davos, présente un système innovant capable
de stocker l'énergie et de convertir l'eau chaude pour le rafraîchissement ou
le chauffage sans besoin d'électricité. Ce système utilise l'énergie solaire thermique
et permet ainsi la production de chauffage ou de rafraîchissement en continu quelque
soit le temps, nuit et jour.
Des brevets mondiaux pour conserver les secrets de cette
alchimie !
La technologie se base sur une absorption en trois états, pour laquelle ClimateWell a déposé un brevet mondial. Elle met en jeu un système fermé, composé de deux cuves connectées dont l'une est remplie de sel ("réacteur") et l'autre d'eau ("évaporateur") ce qui rend possible la vaporisation de l'eau, qui se refroidit donc, et l'absorption de cette énergie par le sel.
De l'eau chaude et de l'eau froide sont simultanément générées, l'utilisateur peut chauffer sa piscine et rafraîchir l'air de sa maison en même temps. Pour le chauffage, il suffit d'intervertir les tuyaux a%n que la cuve chaude soit connectée avec le réseau de chauffage. Le stockage de l'énergie s'effectue en apportant de l'eau chaude, provenant des capteurs solaires thermiques au réacteur et en fermant la connexion entre les deux cuves. Le design inventé par ClimateWell permet de créer les conditions nécessaires pour que les échanges thermiques entre le sel et l'eau soient efficaces.
Un foyer muni de
13/09/2010 dans Green Building, Solaire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Le projet VURCA a pour objet d’étudier le niveau de vulnérabilité des villes aux canicules, en termes de confort thermique et de demande énergétique liée à l’usage de la climatisation.
Présentation
Dans quelle mesure les politiques de planification spatiale
sont-elles efficaces pour décrire les scénarios d’adaptation au changement
climatique ? Quel est le coût économique de ces configurations urbainesalternatives
qui impliquent une relocalisation géographique de l’activité économique et des
logements ? Ces questions sont d’une importance cruciale pour déterminer
si les politiques de planification spatiale peuvent conduire à des stratégies
efficaces pour répondre au changement climatique. La modélisation et l’analyse
de ce dernier phénomène ont longtemps été dominées par des approches agrégées,
dans une perspective nationale et internationale. Ceci a conduit à négliger la
prise en compte de l’organisation spatiale à l’échelle locale. Notre analyse
vise à mettre en lumière les contributions potentielles de la dimension
spatiale d’une économie à des stratégies d’adaptation en se concentrant sur une
analyse à l’échelle d’une agglomération locale. Ceci permettra une approche
adéquate de la planification spatiale et des politiques afférentes dans
l’optique d’une adaptation au changement climatique. La pertinence de cette
question est confirmée par les observations empiriques.
Objectifs
Le projet vise tout d’abord à évaluer la vulnérabilité de
l’espace urbain aux vagues de chaleur en termes de pertes de confort thermique
et de sensibilité de la demande énergétique. Le projet vise ainsi à construire
un indicateur de gravité des vagues de chaleur qui nécessite une description
suffisamment détaillée du tissu urbain pour relier des informations climatiques
globales à leurs effets locaux. Plusieurs cas de canicules futures et leur
probabilité d’occurrence, seront étudiés pour établir l’indicateur de
vulnérabilité aux canicules. Ensuite, des scénarios d’adaptation contrastés
concernant à la fois les bâtiments et la structure urbaine seront
définis, à partir d’une description réaliste des mécanismes économiques
déterminant la dynamique spatiale. Enfin, le projet vise à analyser les
bénéfices permis par différentes stratégies d’adaptation, en combinant une
analyse détaillée du micro climat urbain et de l’évaluation économique. Il
s’agit en effet de comparer les gains obtenus en terme de réduction de la
vulnérabilité aux vagues de chaleur et les coûts socio-économiques induits en
incluant les inégalités spatiales. L’étude proposée est fondée sur une approche
interdisciplinaire incluant des laboratoires spécialistes de la construction et
de l’urbanisme (CSTB), de la météorologie (GAME) et de l’économie (CIRED).
L’objectif est d’organiser la collaboration autour de structures de
modélisation spécifiques à chacun des champs étudiés, qui serviront de support
au dialogue entre ces différentes disciplines et dont les résultats seront
intégrés dans une procédure d’investigation commune.
25/08/2010 dans Changement climatique, Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Au travers de réflexion et d'études de cas menées dans des contextes divers, ce numéro d'Urbia consacré à la nature en ville et à son rôle pose la question de l'articulation entre deux exigences apparemment paradoxales de la durabilité urbaine: la densification de l'habitat et la naturation de la ville.
Le projet urbain durable ne rejette ni le minéral ni le végétal. Au contraire, il les présuppose. Il les ouvre l'un à l'autre et les met en relation sans pour autant les confondre. Le végétal devient ainsi une des lignes de force de la production urbaine. Il s'agit alors d'articuler des échelles d'aménagement, des densités, des rapports d'intensités entre le minéral et le végétal, favorable à la qualité des lieux et des liens sociaux. Il est aujourd'hui nécessaire de revenir sur l'opposition ville-nature. Toute matérialité urbaine comprend nécessairement artificialité et naturalité dans des proportions incommensurables, le minéral et le végétal se fondant de plus en plus étroitement sur les territoires de la ville et de l'entre-ville. Et si comme le dit Thierry Paquot «la ville a rendez-vous avec la nature, comme la lune avec le soleil, mais elle ne le sait pas!» (2004), les sept contributions de ce numéro démontrent que le rendez-vous a bel et bien déjà été pris.
24/08/2010 dans Agriculture urbaine, Ecosystème, Génie végétal, Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
La nouvelle génération d’enveloppes végétales est un sol vertical, où pousse une végétation extensive. C’est une surface ensemencée à l’image du tuf dans laquelle la végétation s’installe et colonise le matériau. L’équilibre qu’atteint l’association des végétaux permet une consommation en eau rationnelle, et peu d’entretien. Ce mur végétal se veut autonome. C’est un processus de végétalisation de la ville plus qu’un jardin vertical. Un milieu capable de se transformer dans le temps et d’évoluer en fonction des situations.
La clef de la réussite de ce processus qui fait l’objet d’un dépôt de brevet, est un système simple d’éléments végétalisés. Ce module est révolutionnaire, il est constitué d’une matière poreuse solide interconnectée dans tous les sens de l’espace, ensemensable, et d’un substrat. Les porosités permettent aux graines de germer, les concavités où circulent l’eau et l’air permettent à la plante de s’enraciner. Les racines iront chercher l’eau et les matières nutritives dans un substrat minéral. La porosité du complexe protège la façade du bâtiment, elle est étudiée pour être suffisamment importante afin que les plantes puissent se fixer, mais empêche la végétation ligneuse spontanée de s’installer (arbres et arbustes dont les racines pourraient endommager la structure du bâtiment). Les modules ont la faculté de s’empiler et se juxtaposer. Ceux que nous avons inventés peuvent prendre plusieurs formes constructives: celles du parpaing, de la brique, du panneau agrafé, etc. On peut imaginer qu’ils aient deux faces poreuses (lire la suite).
24/08/2010 dans Architecture, Eco-matériaux, Ecoconstruction, Génie végétal, Mur végétal | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Plante et Cité : Présentation - L'association.
Plante & Cité est une plateforme nationale d'expérimentations et de conseils techniques à destination des services espaces verts des collectivités territoriales et des entreprises du paysage.
Née du constat d'un besoin d'expérimentations et de mutualisation des techniques du développement durable de gestion des espaces verts, l'association, à but non lucratif, a été initié en 2006, à Angers, par l'initiative de représentants d'établissement de recherche et d'enseignement supérieur (dont l'Institut National d'Horticulture et l'Institut National de Recherche Agronomique), de services des collectivités et d'entreprises.
Le projet Plante & Cité est labellisé « projet » du pôle de compétitivité du « Végétal spécialisé Anjou-Loire », Végépolys.
Il est aujourd'hui le centre technique national traitant des problématiques liées aux espaces verts et mettant en œuvre des expérimentations appliquées (...)
24/08/2010 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
Depuis Emilio Ambaz jusqu’à Jean Nouvel, de nombreux architectes se sont lancés dans le camouflage des bâtiments sous une couche de verdure. Une fois les images communiquées, et pour respecter l’image voulue, il faut bien admettre que les solutions à disposition sont peu nombreuses. Et la plupart des techniques proposées font fi des conditions naturelles des plantes, c’est-à-dire avoir un sol dans lequel installer leurs racines et s’adapter au climat sous lequel elles vivent.
Faut-il remettre en cause ce courant d’architecture ? Ou développer plutôt de nouvelles techniques ? Abandonner ce type de façades serait renier les capacités du végétal à aider les urbains. En effet, les plantes sont capables de filtrer les poussières, de fixer les polluants et d’améliorer l’humidité de l’air. Dans notre ville du futur, les enveloppes végétales seront donc un outil écologique incontournable, elles représentent aussi un potentiel de surfaces qui participeront aux maillages verts urbains (...)
24/08/2010 dans Génie végétal | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
11/07/2010 dans Architecture | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog
(0)
|
| |
URBAN RE:VISION | Archive | ENERGY.
Urban Re:Vision and the Central Dallas Community Development Corporation are pleased to announce the winner of Re:Vision’s international design competition: “Forwarding Dallas,” a collaboration between Portuguese-based architectural firms Atelier Data and Moov...
06/05/2010 dans Agriculture urbaine, Green Building, Génie végétal, Mur végétal | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Balises: Agriculture urbaine, ferme verticale, vertical farm
Reblog
(0)
|
| |