En plein débat national sur le diesel, ce rappel des conclusions récentes de l'étude conduite par l'Institut de veille sanitaire sur l'impact sanaitaire de la pollution athmosphérique
Photo : Eric Gaillard (c) Reuters
Réduire la pollution de l'air dans les neuf villes (1) de France ayant participé, entre 2004 et 2006, au projet européen Aphekom d'évaluation de l'impact sanitaire et économique de la pollution atmosphérique urbaine permettrait l’économie annuelle de 5 mrds €, tout en évitant 3 000 décès par an, révèle l'Institut de veille sanitaire (InVS).
Selon l’InVS, si les concentrations de particules fines et d’ozone respectaient les préconisations de l'OMS, l'espérance de vie à 30 ans pourrait augmenter de 3,6 à 7,5 mois selon la ville.
(1) Bordeaux, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille, Paris, Rouen, Strasbourg et Toulouse, soit 12 millions d'habitants.
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