Une société berlinoise dévelooppe une nouvelle forme de production d'électricité renouvelable en misant sur une ronde de cerfs-volants. La création d'une unité de 120 GWh/an est en cours et l'entreprise revendique déjà plusieurs clients potentiels.
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Les turbines atmosphériques qui convertissent des vents plus réguliers et plus rapides à haute altitude en énergie pourraient générer encore plus de puissance électrique que les unités terrestres et océaniques.
Dans une nouvelle étude, le scientifique Ken Caldeira de la Carnegie Institute a examiné les limites de la quantité d'énergie qui pourrait être récupérée par les vents, ainsi que les effets que pourraient avoir globalement l'énergie éolienne à haute altitude sur le climat.
Les turbines créent des traînées ou des résistances, qui ont pour conséquences de supprimer la dynamique des vents et donc à les ralentir. Comme le nombre d'éoliennes augmente, la quantité d'énergie qui en est extraite, augmente également. Mais à un certain point, les vents seraient freinés si bien que l'ajout de nouvelles turbines ne produirait pas plus d'électricité. Cette étude s'est focalisée sur la recherche de l'endroit où l'extraction d'énergie serait la plus élevée.
En utilisant divers modèles, l'équipe a pu déterminé que plus de 400 térawatts (TW) d'énergie pourraient être extraits des vents de surface et plus de 1.800 térawatts pourraient être générés par des vents issus de toute l'atmosphère du globe.
Aujourd'hui, notre civilisation exploite environ 18 TW d'énergie. Les vents de surface pourraient fournir plus de 20 fois la demande énergétique mondiale, tandis que les turbines couplées aux cerfs-volants pourraient fournir jusqu'à 100 fois plus !
Le Syndicat des énergies renouvelables souhaite, à travers le Livre blanc des énergies renouvelables, apporter son concours à la définition de la politique énergétique française à l’horizon 2030 avec un souci prioritaire : contribuer à la relance durable de notre économie.
S’appuyant sur l’expérience de terrain de ses 500 entreprises adhérentes, qui couvrent l’ensemble des filières renouvelables électriques et thermiques, il entend démontrer à quelles conditions les énergies renouvelables peuvent à la fois participer au mix de production énergétique en préservant l’environnement et constituer le fer de lance d’une nouvelle dynamique industrielle, innovante, créatrice d’emplois et exportatrice.
Feuille de route du SER pour 2020, ce livre blanc présente les projections 2030 et décline douze propositions, accompagnées d’outils, pour parvenir à ces objectifs : 25 % d’énergies renouvelables dans notre consommation en 2020 et création de 125 000 emplois supplémentaires à cet horizon.
Basée à Londres, XCO2 a développé une éolienne de petite puissance à axe vertical qui est pratiquement silencieuse et sans vibration, et donc parfaitement adapté aux sites urbains
De conception simple et robuste, son entretien et sa maintenance s’en trouvent facilitées.
Cette publication d’EurObserv’ER offre un aperçu comparatif des différents marchés des énergies renouvelables en Europe. L'Allemagne reste prépondérante dans la quasi totalité des secteurs.
> Pour télécharger le rapport
S'adaptant aux contextes d'implantation, le module éolien de 30 kW alimente en électricité un bloc-eau dans lequel une turbine aspire l’air pour le transformer en eau. Le précieux liquide obtenu pourra être stocké, diffusé dans un réseau ou encore délivré par un simple robinet :
La société Eole Water prépare actuellement l’implantation d’une première éolienne pilote à Abu Dhabi.
Pour en savoir plus, le site d'Eole Water
Cet automne démarrera la construction du plus grand parc éolien en mer (offshore) du monde, le London Array, dans l’estuaire de la Tamise, un projet de 1 GW - autant qu’un réacteur nucléaire, de quoi alimenter 750.000 foyers.
Un projet sauvé de l’abandon par la décision du gouvernement britannique de doubler ses subventions à l’électricité des éoliennes en mer, qui a poussé ses trois investisseurs (le danois Dong Energy, le groupe d’énergie allemand E .ON et Masdar, le projet d’énergies nouvelles d’Abou Dhabi) à remettre au pot 2,2 milliards d’euros.
+ Le site du projet London Array
+ Sur le site de Green Univers
Technology Review: A Design for Cheaper Wind Power .
FloDesign Wind Turbine, a spin-off from the aerospace company FloDesign based in Wilbraham, MA, has developed a wind turbine that could generate electricity at half the cost of conventional turbines. The company recently raised $6 million in its first round of venture financing and has announced partnerships with wind-farm developers. The company's design, which draws on technology developed for jet engines, circumvents a fundamental limit to conventional wind turbines. Typically, as wind approaches a turbine, almost half of the air is forced around the blades rather than through them, and the energy in that deflected wind is lost. At best, traditional wind turbines capture only 59.3 percent of the energy in wind, a value called the Betz limit. FloDesign surrounds its wind-turbine blades with a shroud that directs air through the blades and speeds it up, which increases power production. The new design generates as much power as a conventional wind turbine with blades twice as big in diameter. The smaller blade size and other factors allow the new turbines to be packed closer together than conventional turbines, increasing the amount of power that can be generated per acre of land.
To make wind power useful when the wind isn’t blowing, power companies need utility-scale energy storage—but batteries that big aren’t yet practical. One option is to use wind power to compress air for storage in tanks or caverns underground, then use the air to run a generator. That’s the goal of the Iowa Stored Energy Park in Dallas Center, Iowa, where site testing of recently drilled wells will be completed next year. The technology is also part of the design for the world’s largest wind farm, a 3000-megawatt project planned for Briscoe County in Texas.